À la recherche d’une solution d’agrandissement de votre maison ? Les atouts d’une extension à ossature en bois se prêtent à de nombreux projets : facile et rapide à installer, elle peut aussi bien prolonger un espace existant qu’en créer un totalement nouveau, avec une fonction propre. Mais avant de se lancer, il faut respecter les règles d’urbanisme et les normes de construction.
Les atouts d’une extension à l’ossature bois
Comme tout projet d’agrandissement de maison, la création d’une extension offre de la valeur ajoutée au bien. Après, l’ajout des mètres carrés peut s’effectuer dans la continuité de l’habitation ou s’inscrire en dissonance : le bois permet une grande variété de formes et se marie bien avec la pierre ou tout autre revêtement existant. Sans oublier, son toit plat, résolument moderne, qui s’intègre à tous les styles d’habitats.
Mais les qualités du matériau ne sont pas qu’esthétiques : léger, naturellement isolant, écologique, le bois absorbe et rejette l’humidité. Enfin, le chantier d’une extension bois est sec, sans gravats, sans nuisance. Il peut être réalisé en quelques jours, même si le projet est unique…
Quelles sont les règles à respecter ?
Tout chantier doit faire l’objet d’une consultation au préalable du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune : ce dernier peut contraindre le projet en hauteur, sur son emprise au sol, sa superficie, ses coloris, son implantation, le recours au bois, etc.
Une extension bois d’une surface de 5 m² à 20 m² nécessite une déclaration préalable en Mairie, avant le début du chantier. Au-delà de 20 m², il faut même un permis de construire. À noter qu’en zone urbaine, ces prérequis sont exigés à partir de 40 m² ou lorsque la surface totale est supérieure à 170 m².
Enfin, la construction doit respecter la norme RT2020, applicable à partir du 1er janvier 2021 : or, une extension à ossature bois peut parfaitement répondre à ses exigences…
Quelle destination pour cet agrandissement ?
L’aménagement, extérieur comme intérieur, dépend directement de son usage : chambre supplémentaire, salle de jeux, bureau, prolongement du salon…
Par exemple, une chambre peut se construire de plain-pied, dans la continuité de la façade (en L ou en U), totalement déconnectée de l’habitat dans une approche « studio » ou encore en surélévation. Pour une salle à manger, l’option la plus logique est de s’inscrire dans le prolongement de la maison : pour cet usage, la luminosité est encore plus essentielle que pour toute autre destination. Et pourquoi ne pas envisager une extension ouvrant sur une terrasse également en bois, si le terrain le permet ?
En fonction de l’usage de l’extension en bois, il faut aussi considérer les aspects techniques – notamment pour abriter une cuisine ou une salle de bain. En effet, au-delà des travaux d’électricité, il faut aussi prévoir les arrivées et les évacuations d’eau. Et cela, avant de poser le parement de finition (revêtement décoratif).
N’hésitez pas à solliciter le courtier de La Maison Des Travaux de Saint-Quentin pour piloter cette extension à ossature bois. Expérimenté, il dispose de tous les contacts nécessaires pour orchestrer cet agrandissement, de sa conception par un architecte, au dernier coup de marteau, sans oublier l’accompagnement pour les démarches administratives.